Ingrédients :
Pour 24 mini tartes :
- 3 Pommes
- 1 Pâte brisée
- 20 grammes de beurre
- Du demi-sel
- Du Sucre
Préparation :
Épluchez les pommes et découpez les en quartier.
Pour la suite nous avons pris un moule a madeleine. Déposez la pâte dans le moule a madeleine, découpez la pour chaque par et recouvrez les bord pour en faire des mini tarte. Gardez le reste de la patte, elle servira plus tard.
Faite caraméliser les pommes pour quel rende un peu de jeu et pour améliorer le goût.
Déposez les pommes cuit dans les moules.
Recouvrez de pâte.
Saupoudrez de sucre.
Une fois cuit, démouler les tartes et servir tiède ou bien froid selon votre préférence.
Bonnes dégustations!
vendredi 16 septembre 2011
Tarte aux pommes et Nutella
Ingrédients :
- 5 Pommes
- 1 Pâte brisée
- Du Nutella
- Du sucre
Préparation :
Épluchez les pommes et découpez les en quartier.
Mettez la patte dans un plat avec le papier sulfurisé. Étaler un peu de Nutella sur tous le fond de la patte.
Recouvrez de pomme de façons concentrique afin de bien recouvrir toutes la surface et pour que la tarte et quelle soit le plus jolie possible .
Saupoudrez de sucre.
Une fois cuit à servir tiède ou bien froid selon votre préférence.
Bonnes dégustations!
- 5 Pommes
- 1 Pâte brisée
- Du Nutella
- Du sucre
Préparation :
Épluchez les pommes et découpez les en quartier.
Mettez la patte dans un plat avec le papier sulfurisé. Étaler un peu de Nutella sur tous le fond de la patte.
Recouvrez de pomme de façons concentrique afin de bien recouvrir toutes la surface et pour que la tarte et quelle soit le plus jolie possible .
Saupoudrez de sucre.
Une fois cuit à servir tiède ou bien froid selon votre préférence.
Bonnes dégustations!
lundi 5 septembre 2011
Madeleines
Ingrédients :
Préparation :
Un peu d'histoire :
Le roi Stanislas de Pologne avait comme résidence secondaire le château de Commercy situé dans une petite bourgade de Lorraine.
Un jour de l'an de grâce 1755, il reçu pour invités Voltaire et madame de Châtelet qu'il savait des hôtes très gourmands. Pour l'occasion il demanda à sa cuisinière, madeleine, de préparer une sucrerie inédite.
Celle-ci proposa à ses hôtes de petits gâteaux aux ventres rebondis qui furent déclarés fameux notamment pour la finesse due au parfum subtil de la bergamote.
Le roi Stanislas apprécia tellement ces gâteaux qu'il en envoya un colis à sa fille, Marie épouse du roi Louis XV à la cour de Versailles.
La pâtisserie fut tellement appréciée qu'on décida de l'appeler Gâteau de la reine, mais celle-ci préféra l'appeler, Madeleine, du nom de celle qui avait inventé ce gâteau aujourd'hui célèbre.
Et c'est ainsi que le nom d'une petite cuisinière de maison bourgeoise passa à la postérité.
Bonnes dégustations!
- Pour 14 madeleines sucré :
- 2 oeufs
- 75g de sucres
- 100g de farines
- 1/4 de sachet de levures
- 50g de beurres
- 1 cuillère à soupe de crème fraîche
- Pour 14 madeleines salées :
- 1 oeuf
- 1 pincée de sel
- 100g de farines
- 75 g de lardons fumés
- 60 g de beurres
- 3 cuillères à soupe de crème fraîche
Préparation :
- Enfourner et laisser cuire pendant 15 minutes
- Lorsque les madeleines sont dorées et bombées, les sortir du four et les démouler immédiatement pour les laisser refroidir.
IMPORTANT :C'est le choc thermique (différence de température) qui va vous permettre d'obtenir une belle bosse donc il faut absolument laisser reposer la pâte au réfrigérateur.
Un peu d'histoire :
Le roi Stanislas de Pologne avait comme résidence secondaire le château de Commercy situé dans une petite bourgade de Lorraine.
Un jour de l'an de grâce 1755, il reçu pour invités Voltaire et madame de Châtelet qu'il savait des hôtes très gourmands. Pour l'occasion il demanda à sa cuisinière, madeleine, de préparer une sucrerie inédite.
Celle-ci proposa à ses hôtes de petits gâteaux aux ventres rebondis qui furent déclarés fameux notamment pour la finesse due au parfum subtil de la bergamote.
Le roi Stanislas apprécia tellement ces gâteaux qu'il en envoya un colis à sa fille, Marie épouse du roi Louis XV à la cour de Versailles.
La pâtisserie fut tellement appréciée qu'on décida de l'appeler Gâteau de la reine, mais celle-ci préféra l'appeler, Madeleine, du nom de celle qui avait inventé ce gâteau aujourd'hui célèbre.
Et c'est ainsi que le nom d'une petite cuisinière de maison bourgeoise passa à la postérité.
Sources : Aftouch-cuisine.com,Piroulie.
Bonnes dégustations!
dimanche 4 septembre 2011
Terrine de Foi de Volaille
Préparation : 20 min
Cuisson : 1h30
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 250 g de foies de volaille
- 100 g de lardons
- 400 g de lard gras
- 2 ou 3 œufs
- 2 grosse cuillère à soupe de crème fraîche épaisse
- laurier- thym
- sel et poivre
Préparation :
Hacher les foies, le jambon et le lard.
Ajouter les œufs, le thym et la crème. Mettre 2 feuilles de laurier au fond d'une terrine. Ajouter dessus le hachis. Saler et poivrer.
Cuire 1 h30 à 200°C.
Une fois cuit mettre au frais pendant une dizaine d’heure. Le plus longtemps serra le mieux car une terrine est meilleure après repos !
Un peu d'histoire :
Si les origines du pâté et des terrines remontent aux Romains, les recettes se sont diversifiées avec le temps. De la terrine de porc la plus simple juste assaisonnée de sel et poivre, à la ballottine la plus raffinée avec du foie-gras entier, en passant par des pâtés aromatisés aux herbes comme le thym, l'imagination n'a pas de limite. Les terrines telles que nous les connaissons en bocaux ou conserves sont apparues au 19ème siècle. Napoléon, à la recherche d''un mode de conservation des aliments pour l'armée, lance un concours. Nicolas Appert (1749-1841) présente son invention qui associe traitement thermique et emballage étanche. En stérilisant ainsi les aliments, ce procédé qui s'appelle l'appertisation, a permis la conservation longue durée à température ambiante.
Sources : Expressions-fermieres.com.
Bonnes dégustations!
Flamenküche
INGRÉDIENTS :
Pour 6 personne(s)
Un peu d'histoire :
Les vraies tartes flambées d'Alsace sont des rurales. La Flammekueche est née dans les fermes et il faudra attendre les années 1960 pour la voir partir à l’assaut des grandes villes comme Strasbourg, dans le sillage de sa cousine la pizza. Nos historiens de la rubrique ont découvert néanmoins qu’elle existait déjà dans certains petits restaurants de village qui n’ouvraient que le samedi soir pour une clientèle triée sur le volet et qui payait en anciens francs. Un physionomiste filtrait les entrées : t’as pas de sabots, tu rentres pô. Ce plat traditionnel alsacien (nous laisserons le soin à nos collègues lorrains et allemands d’en revendiquer la paternité dans leurs propres articles) est depuis toujours composé d’une abaisse de pâte à pain rectangulaire recouverte de Bibeleskäse (fromage blanc) et/ou de crème et garnie de lardons, d’oignons puis cuite au four.
Contrairement au Backeoffe, plat riche réservé naguère aux citadins bourgeois, la tarte flambée est d’origine prolétaire et fière de l’être. Dans les années 30 (en l’an 80 avant la console Wii, pour nos jeunes lecteurs) les fermières avaient l’habitude de faire cuire leur pain tous les quinze jours ou toutes les trois semaines. C’était une petite fête et pour la marquer on réservait un peu de pâte, l’étalait finement, puis on profitait de la phase de chauffe du four pour cuire ces tartes présentées ensuite aux ouvriers agricoles à même la pelle. Il suffisait de la découper et chacun roulait sa part pour la manger avec les mains. Ce rituel est encore de mise aujourd’hui, même au restaurant.
Bonnes dégustations!
1 pâte feuilletée
2 oignon
1 barquette de 250 g de lardon fumé
20 cl de crème fraîche
sel et poivre
PRÉPARATION :
1. Étalez la pâte à tarte dans votre plat. Émincez les oignons et parsemez les sur la patte.
2. Disposez les lardons par-dessus et versez la crème fraîche. Salez (peu à cause des lardons) et poivrez
3. Faites cuire 15 à 20 minutes à four chaud (250°C).
Les vraies tartes flambées d'Alsace sont des rurales. La Flammekueche est née dans les fermes et il faudra attendre les années 1960 pour la voir partir à l’assaut des grandes villes comme Strasbourg, dans le sillage de sa cousine la pizza. Nos historiens de la rubrique ont découvert néanmoins qu’elle existait déjà dans certains petits restaurants de village qui n’ouvraient que le samedi soir pour une clientèle triée sur le volet et qui payait en anciens francs. Un physionomiste filtrait les entrées : t’as pas de sabots, tu rentres pô. Ce plat traditionnel alsacien (nous laisserons le soin à nos collègues lorrains et allemands d’en revendiquer la paternité dans leurs propres articles) est depuis toujours composé d’une abaisse de pâte à pain rectangulaire recouverte de Bibeleskäse (fromage blanc) et/ou de crème et garnie de lardons, d’oignons puis cuite au four.
Contrairement au Backeoffe, plat riche réservé naguère aux citadins bourgeois, la tarte flambée est d’origine prolétaire et fière de l’être. Dans les années 30 (en l’an 80 avant la console Wii, pour nos jeunes lecteurs) les fermières avaient l’habitude de faire cuire leur pain tous les quinze jours ou toutes les trois semaines. C’était une petite fête et pour la marquer on réservait un peu de pâte, l’étalait finement, puis on profitait de la phase de chauffe du four pour cuire ces tartes présentées ensuite aux ouvriers agricoles à même la pelle. Il suffisait de la découper et chacun roulait sa part pour la manger avec les mains. Ce rituel est encore de mise aujourd’hui, même au restaurant.
Sources : Jds.fr.
Bonnes dégustations!
Crumble au Pommes
Ingrédients pour un crumble aux pommes pour 6 personnes :
70g de sucre,
50g de beurre,
70g d'amandes en poudre
, 100g de farine,
- 8 belles pommes.
PRÉPARATION
1. Mélanger farine, poudre d'amandes, levure et sucre.
Couper le beurre en petit morceaux et le mélanger. Bien remuer le tout en conservant un aspect sablé ou gravier.
La pâte est prête !
2. Éplucher et couper les pommes.
Beurrer le plat et ajouter un peut de farine afin que la mixture n'accroche pas a la cuisson.
Les mettre au fond d'un plat et recouvrir de la pâte que l'on emiette au dessus des pommes.
3.Ajouter du sucre pour carameliser les pommes. Cuire au four à 210°C pendant 30 minutes environ !
Le crumble est en effet né pendant les bombardements de Londres par les avions nazis pendant la Seconde guerre mondiale. Parce que les hommes étaient partis sur le front, les femmes travaillaient à l'extérieur et avaient moins de temps pour faire la cuisine, elles mirent au point cette recette. Sans oeufs à cause du rationnement, la pâte grossière était à base de farine, de sucre et de margarine (aujourd'hui, on préférera bien sûr le beurre) dont on recouvrait des fruits du jour disposés sur un plat.
Les crumbles se révélèrent trop succulents pour disparaître après-guerre et leur popularité actuelle doit beaucoup à leur grande simplicité d'exécution !
Sources : Du-sacre-au-sucre.
Bonnes dégustations!
Inscription à :
Commentaires (Atom)



























































